Après les ITW des Maires Louis NÈGRE, de Cagnes-sur-Mer des Alpes Maritimes, Christophe BECHU de Angers en Mayenne, Guillaume MOLIERAC, de Villeréal dans le Lot-et-Garonne, Bertrand de GUEBRILLANT de Craon en Mayenne, Michel DUTHEIL de la Chartre-sur-Le-Loir dans la Sarthe, au cours desquelles ils ont chacun répondu aux questions du CIFCH sur « l’apport économique du secteur courses sur leur territoire », nous vous proposons l’analyse de Étienne GLEMOT, maire de la Ville du Lion d’Angers du Maine-et-Loire, qui compte 5 100 habitants et se situe dans l'aire d'attraction d'Angers, à seulement une vingtaine de kilomètres au Nord. En plus de cette situation géographique privilégiée, c’est un territoire rural en plein développement qui bénéficie d’une vie locale dynamique, de services et de commerces, ainsi que d’une qualité de vie très agréable.

Après les interviews des Maires Louis NÈGRE, de Cagnes-sur-Mer dans les Alpes Maritimes, Guillaume MOLIERAC, de Villeréal dans le Lot-et-Garonne, de Christophe BéCHU d’Angers, de Bertrand de GUEBRIANT de Craon en Mayenne, aujourd’hui nous vous proposons l’analyse de Fabrice DUPPI, Maire de Monpazier en Dordogne.

Après les interviews des Vice-Présidents des Conseils Régionaux, des Pays-de-la-Loire, André MARTIN et de Marie-Sophie LESNE des Hauts de France au cours duquel ils ont répondu aux questions du CIFCH sur « l’apport économique du secteur courses dans leur territoire », nous vous proposons aujourd’hui l’analyse du Président de la Région Grand Est, Jean ROTTNER.

Après l’interview du Vice-Président du Conseil Régional des Pays-de-la-Loire, André MARTIN, au cours duquel il a répondu aux questions du CIFCH sur « l’apport économique du secteur courses dans leur territoire », nous vous proposons aujourd’hui l’analyse de Marie-Sophie LESNE Vice-Présidente Chargée de l’Agriculture, de l’Agroalimentaire et de la pêche.

Après les ITW du Vice-Président du Conseil Régional des Pays de la Loire, André MARTIN, de Louis NÈGRE, Maire de Cagnes-sur-Mer dans les Alpes Maritimes, de Guillaume MOLIERAC, Maire de Villeréal dans le Lot-et-Garonne, de Christophe BÉCHU, Maire de la Ville d’Angers en Maine-et-Loire, de Bertrand de GUEBRILLANT, Maire de la ville de Craon de Mayenne, interviews au cours desquels chacun d’entre eux a répondu aux questions du CIFCH sur « l’apport économique du secteur courses dans leur territoire », nous vous proposons aujourd’hui l’analyse de Michel DUTHEIL Maire de la ville de La Chartre-sur-le-Loir, petite ville du sud de la Sarthe, traversée par le Loir, et comptant 1440 habitants. C’est un ancien chef-lieu de canton et un pôle économique important avec 950 emplois. Commune commerçante et touristique avec plus de 60 commerces, un camping et un hôtel réputé et reconnu par les coureurs des 24h du Mans.

La société de courses qui gère l’hippodrome fête ses 135 ans cette année, à l’occasion des courses de trotteur en semi-nocturne très attendues chaque année lors du week-end du 13 août, où se pressent près de 2000 personnes. L’hippodrome est membre de la Fédération des courses hippiques Anjou-Maine-Centre-Ouest, qui compte 33 hippodromes.

Après les ITW du Vice-Président du Conseil Régional des Pays de la Loire, André MARTIN, et Louis NÈGRE, Maire de Cagnes-sur-Mer dans les Alpes-Maritimes, au cours desquels ils ont chacun répondu aux questions du CIFCH sur « l’apport économique du secteur courses sur leur territoire », nous vous proposons l’analyse de Christophe BÉCHU, Maire de la ville d’Angers & Président d’Angers Loire Métropole.

L’hippodrome d’Éventard fait partie de la Fédération des Courses hippiques régionales Anjou-Maine-Centre-Ouest, qui compte 33 hippodromes.

« Les courses hippiques, quels apports dans l’économie régionale ? »

Après les ITW du Vice-Président du Conseil Régional des Pays de la Loire, André MARTIN, et Louis NÈGRE, Maire de Cagnes-sur-Mer dans les Alpes-Maritimes, au cours desquels ils ont chacun répondu aux questions du CIFCH sur « l’apport économique du secteur courses sur leur territoire », nous vous proposons l’analyse de Guillaume MOLIERAC, Maire de Villeréal, commune de 1300 habitants, au nord du Lot-et-Garonne, à l’entrée du Périgord. C’est un des plus beaux villages de France, classé depuis 2018.

Implanté sur la commune de Villeréal, l’hippodrome PESQUIÉ-BAS fait partie de la Fédération des Courses hippiques régionales du Sud-Ouest, qui compte 47 hippodromes.

Après les ITW du Vice-Président du Conseil Régional des Pays de la Loire, André MARTIN, de Louis NÈGRE, Maire de Cagnes-sur-Mer dans les Alpes Maritimes, Guillaume MOLIERAC, Maire de Villeréal dans le Lot-et-Garonne et de Christophe BÉCHU, Maire de la Ville d’Angers en Maine-et-Loire au cours desquels ils ont chacun répondu aux questions du CIFCH sur « l’apport économique du secteur courses sur leur territoire », aujourd’hui nous vous proposons l’analyse de Bertrand de GUÉBRIANT, Maire de la ville de CRAON (53).

Implanté sur la commune de CRAON, l’hippodrome de LA TOUCHE organise 10 réunions de courses dans 3 disciplines : Le Plat, Le Trot et l’Obstacle. L’hippodrome est membre de la Fédération des Courses hippiques régionales Anjou-Maine-Centre-Ouest qui compte 33 hippodromes.

Après l’ITW du Vice-Président du Conseil Régional des Pays de la Loire, André Martin, sur l’apport économique du secteur courses pour son territoire, nous vous proposons l’analyse de Monsieur Louis Nègre, Maire de Cagnes-sur-Mer (06). L’hippodrome de la Côte-d’Azur installé sur son territoire fait partie de la Fédération des courses hippiques régionale du Sud-Est. Des courses y sont organisées dans 3 disciplines : Trot, Plat, Obstacles. L’hippodrome est classé deuxième hippodrome de France après celui de Paris-Vincennes.

Qu’est-ce que le secteur des courses hippiques apporte à votre région ?

Les courses hippiques en région Pays de la Loire, c'est avant tout une vitrine de notre économie locale. Élevage, pré-entraînement, entraînement, soin vétérinaire, alimentation des équidés, équipement des professionnels... sont des activités omniprésentes dans nos 5 départements (Sarthe, Mayenne, Vendée, Loire-Atlantique et Maine-et-Loire). Elles sont pourvoyeuses d'emplois variés (11000) et de créations d'entreprises, directs ou indirects. Les courses sont donc le reflet de l'activité de tous nos professionnels qui rayonnent sur nos 33 hippodromes régionaux et bien au-delà.

Comment avez-vous découvert les courses hippiques ?

L’Anjou dispose de plusieurs hippodromes prestigieux : celui d’Angers, du Lion d’Angers également, mais aussi celui de Beaupréau qui accueille chaque année les courses de la Petite angevine. Ils ont été autant d’occasions de découvertes des courses hippiques. Plus tard, ma femme travaillant à l’époque au PMU, j’ai pu découvrir Chantilly et Longchamps, le Prix de Diane et le Prix d’Amérique et même des hippodromes Irlandais. Cela m’a permis de comprendre l’importance des paris qui financent la filière et permettent à la France d’être leader dans le domaine du trot et du galop.

Comment avez-vous découvert les courses hippiques ?

J'ai découvert le cheval jeune et j'ai été cavalière durant 10 ans dans le centre équestre de Conches-en-Ouche, qui dispose d'un manège olympique.

Avec plus de 43 hippodromes et 230 centres équestres, la Normandie est une terre de chevaux, fer de lance du secteur en France. Dans l'Eure, même une toute petite commune comme Francheville, 500 âmes, dispose d'un hippodrome : preuve d'un engouement incroyable !

J'ai découvert les courses hippiques pour la première fois à l'hippodrome d’Évreux. L'« hippodrome de Navarre » est un hippodrome de première catégorie en plat et de troisième catégorie en trot, avec sa piste en herbe de 1 500 mètres environ et sa tribune couverte de style normand pouvant accueillir 200 personnes. Il y a quatre grandes réunions d’équitation par an qui s'y tiennent.

Comment avez-vous découvert les courses hippiques ?

J’ai véritablement découvert les courses hippiques il y a quelques années en devenant député et en étant de temps en temps invité par les Présidents de sociétés de courses. Je me plais à prendre part à ces évènements festifs et découvrir les différents acteurs de ce secteur.

Il est vrai que mon territoire à la chance d’accueillir deux hippodromes, le premier à Saint-Galmier (hippodrome Joseph Desjoyaux) classé en pôle régional et le second à Feurs (hippodrome du Parc), tandis qu’il en comptait un troisième avec celui de Savigneux (qui depuis a été fermé). Le département de la Loire est également l’un des plus important en termes d’élevage du trotteur et compte donc beaucoup d’éleveurs, d’entraineurs et de jockeys.

Comment avez-vous découvert les courses hippiques ?

Les premiers contacts que j’ai eus avec les courses hippiques remontent à mon enfance. Mon grand-père y jouait régulièrement. Pour autant, mes premiers liens réels avec la filière « cheval » remontent à mon installation dans le Saumurois. Ils se sont développés dès les premiers mois de mon mandat. Elue de Maine-et-Loire, et notamment de Saumur, ville connue internationalement pour son patrimoine équestre, je me suis rapidement intéressée à ces questions. La première course hippique à laquelle j’ai assisté était à l’hippodrome de Verrie, à l’occasion d’une chasse aux œufs de Pâques organisée en parallèle des courses. Cela avait énormément plu à mes enfants. Cette journée a permis une réelle découverte familiale de ce secteur et les rencontres que j’y ai faites m’ont particulièrement sensibilisée aux enjeux du milieu ; cela avait d’autant plus appuyé mon envie de m’engager pour le secteur. J’y reste aujourd’hui particulièrement attentive, aux côtés des élus locaux et de mes collègues engagés au sein du groupe d’études.

Comment avez-vous découvert les courses hippiques ?

Le département de la Loire, dans lequel je vis depuis ma naissance et dont je suis député, est comme vous le savez une terre d’élevage de chevaux. Il est d’ailleurs le second département français d’élevage de trotteurs avec 115 centres équestres, 7 800 licenciés, 62 entraîneurs de chevaux de courses et un entraîneur de galop.

Mais mon lien avec le domaine hippique me vient sans nul doute de mes souvenirs d’enfant et de mes sorties dominicales avec mon grand-père. C’est en effet à ses côtés que j’ai découvert les courses hippiques dans la petite commune de Jullianges en Haute-Loire, à près de 950 mètres d’altitude. Des journées qui sont restées gravées dans ma mémoire où l’on pouvait tant à la fois approcher les chevaux sur le départ que rencontrer les jockeys, mais surtout partager un moment d’enthousiasme et de passion. Plus tard, j’ai eu l’occasion de découvrir d’autres lieux d’hippisme à Saint-Galmier ou bien encore à Feurs. Puis, les contraintes de la vie professionnelle et de mon engagement en politique m’ont éloigné des champs de courses, à mon grand regret.

Aujourd’hui, par mon engagement au sein du groupe de travail Cheval de l’Assemblée nationale ou bien encore auprès des propriétaires équins dont les chevaux ont été victimes depuis plusieurs mois d’actes de cruauté, je remets quelque peu un « pied à l’étrier ».

Comment avez-vous découvert les courses hippiques ?

Ma découverte des courses hippiques a été lorsque j’étais membre de la Commission des affaires économiques du Sénat, plusieurs rapports d’information ont été réalisés sur la situation de la filière équine. Notamment en 2016, où le rapport d’information avait pour but de mettre en le monde du cheval et plus précisément de favoriser le rebond d’une filière d’excellence en difficulté.

Ces difficultés sont encore présentes avec la crise épidémique. La filière équine est durement touchée : les établissements équestres, les éleveurs, les cavaliers professionnels, les entraîneurs et les hippodromes.

A cet effet, mon action en faveur des centres équestres m’a amené à élargir ma vision de cette filière dans toute sa composante.

Comment avez-vous découvert les courses hippiques ?

J’ai découvert les courses hippiques lorsque j’étais adolescente et que j’y ai accompagné mes parents. Mon père a toujours eu un amour immodéré pour les chevaux. Et cet amour se conjugue avec une profonde admiration pour le monde équestre et un sincère respect pour l’animal. Il m’a transmis ses valeurs. Et grandir dans les Yvelines nous rend forcément familiers des chevaux. Le cheval y est partout chez lui : en forêt, sur l’hippodrome, en haras, au pré, dans les nombreux centres équestres. Quand mes parents ont acquis des trotteurs, je me suis rendue plus régulièrement aux courses et j’ai été séduite par l’atmosphère qui y règne.

Comment avez-vous découvert les courses hippiques ?

Je suis née, j’ai grandi et je vis à Caen dans le Calvados. La filière équine et ses courses hippiques sont incontournables pour tous les Calvadosiens, tous les Normands. Terre d’élevage, de compétition, de courses hippiques, de recherche équine, de passionnés et d’accueil pour toute cette filière, le cheval est au cœur de mon département et constitue son identité, son ADN. La filière équine fait partie de notre patrimoine, elle est un maillon essentiel de notre activité économique, porteuse d'avenir, de développement et créatrice d’emplois. Sept hippodromes dynamisent notre département et contribuent collectivement avec l’ensemble des acteurs équins au rayonnement international du Calvados. L’hippodrome de Caen, datant de 1839, est en plein cœur de ville. Les grands prix de Caen, des Ducs de Normandie et du Calvados sont des évènements connus de tous, et voir courir les chevaux fait partie de ma jeunesse.

Comment avez-vous découvert les courses hippiques ?

Je suis né et j’ai grandi sur une terre de cheval, la Normandie, le Calvados, le Pays d’Auge. Depuis mon enfance, le cheval fait partie de mon quotidien, de mon environnement et de mon cadre de vie. Chez nous, l’activité cheval est étroitement liée à l’activité des habitants, nous travaillons avec le cheval, nous nous divertissons avec le cheval, nous vivons de, avec et pour le cheval. Les courses hippiques rythment et animent la vie de beaucoup d’habitants de notre territoire et très jeune avec mon père, j’ai pu assister à ma première course à l’hippodrome de Cabourg. C’est un moment inoubliable pour moi et aussi formateur, car c’est à cet instant que je suis entré dans l’univers extraordinaire du monde du cheval.

Comment avez-vous découvert les courses hippiques ?

J'ai découvert le monde des courses en côtoyant l'hippodrome du Bouscat, dans mon département de la Gironde, une commune limitrophe de Bordeaux qui fait partie de la métropole. C'est à travers Jean-Michel Descamps, Président de la société d'encouragement de l'hippodrome de Bordeaux-Le Bouscat et maire de Sauternes jusqu'en 2020, passionné d'équitation et de courses hippiques, que j'ai pu approcher cette discipline à laquelle j'ai toujours accordé un grand intérêt, sans véritablement l'avoir auparavant découverte. C'est lors de moments passés ensemble que je me suis imprégnée de ce rite extrêmement calibré, une passion qui a une allure folle!