François Calvet, Sénateur des Pyrénées-Orientales.

Comment avez-vous découvert les courses hippiques ?

Ma découverte des courses hippiques a été lorsque j’étais membre de la Commission des affaires économiques du Sénat, plusieurs rapports d’information ont été réalisés sur la situation de la filière équine. Notamment en 2016, où le rapport d’information avait pour but de mettre en le monde du cheval et plus précisément de favoriser le rebond d’une filière d’excellence en difficulté.

Ces difficultés sont encore présentes avec la crise épidémique. La filière équine est durement touchée : les établissements équestres, les éleveurs, les cavaliers professionnels, les entraîneurs et les hippodromes.

A cet effet, mon action en faveur des centres équestres m’a amené à élargir ma vision de cette filière dans toute sa composante.

Quel regard portez-vous sur ce secteur ?

Troisième animal préféré des français, les chevaux présentent la particularité d'être la seule espèce animale qui se prête à des usages aussi variés, à finalité économique ou sociale, tels que les sports et loisirs équestres, les courses hippiques ou le travail.

Le cheval a sa place dans le patrimoine culturel universel.

Il est donc important de préserver le rayonnement de cette filière d’excellence, mondialement reconnue et louée pour son élevage de qualité et ses performances dans les compétions internationales les plus prestigieuses.

Image mythique, le cheval caractérise notre civilisation.

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Jean-Michel Mis, Député de la Loire.

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Aurore Bergé, Députée des Yvelines.